Mes services

CERPA se consacre à la sauvegarde du patrimoine culturel belge. Je traite essentiellement les œuvres d’art de notre patrimoine national, conservées dans des églises, dans des collections privées ou publiques, principalement en Belgique mais aussi à l’étranger. Les clients peuvent faire appel à mes services pour la conservation-restauration d’œuvres d’art et d’objets patrimoniaux.

Je mets tout en œuvre pour préserver, protéger et valoriser le mieux possible notre patrimoine. Conservateur-restaurateur, je suis spécialisé dans la restauration de la peinture sur panneau ou sur toile, la peinture murale, la sculpture sur bois, les cadres, les objets et décors polychromes ou encore la conservation préventive. Je dispose d’une longue expérience et d’un vaste réseau national.

Tous les traitements font l’objet de rapports d’intervention illustrés dans lesquels figurent une description détaillée des étapes du traitement.

Les services que je vous propose permettent d’agir de façon préventive et curative sur vos œuvres :

Peintures de chevalet

Restauration de cadres

Peintures murales

Statues polychromes

Objets et décors polychromes

Conservation préventive

« La mission principale de CERPA est de préserver, protéger et valoriser le patrimoine artistique et culturel pour les générations actuelles et futures »

J’œuvre avec passion pour préserver durablement notre patrimoine et le restaurer afin d’en révéler tout le sens et la beauté, grâce à des traitements de conservation-restauration adaptés aux besoins de votre œuvre.

Après avoir décrit et documenté l’état de conservation de l’œuvre sous tous ses aspects, j’entame le traitement proprement dit. Celui-ci est toujours réalisé dans le respect absolu du code éthique de l’E.C.C.O. J’applique des techniques de restauration éprouvées et scientifiquement fondées.

Chaque projet de restauration débute par une pré-étude approfondie. Ainsi, j’en apprends davantage sur l’œuvre, son état de conservation, et son contexte de réalisation. Ensuite seulement, j’entame le traitement proprement dit. C’est un travail hautement spécialisé, mais les résultats sont souvent spectaculaires.

J’accorde une attention toute particulière à une conservation durable grâce à l’utilisation de matériaux et de techniques réversibles et, bien sûr, à l’esthétique de l’œuvre. L’intervention permet de restaurer l’unité de la composition et la lisibilité de l’œuvre.

Conservation - restauration

Avant chaque restauration, le restaurateur établi un constat d’état de l’œuvre. Ce constat lui permet de comprendre la structure de l’œuvre, d’identifier les altérations et de diagnostiquer leurs causes, mais aussi d’observer les éventuels risques de détérioration. Il détermine ensuite s’il est nécessaire d’effectuer des interventions pour la restauration ou la conservation de l’œuvre et s’il est possible de les faire ou non. S’il est nécessaire et possible d’intervenir, il propose les interventions qui lui semblent essentielles. Le conservateur-restaurateur d’art peut procéder à différentes actions :

  • conservation curative : il s’agit de l’ensemble des actions directement entreprises sur un bien culturel dont l’objectif est de le renforcer structurellement ou d’arrêter un processus actif de détérioration. Ces actions ne sont mises en œuvres que lorsque l’existence même du bien est menacée à court terme par sa fragilité ou sa vitesse de détérioration. Elles modifient parfois l’apparence du bien.

  • restauration esthétique : il s’agit de l’ensemble des actions directement entreprises sur un bien culturel ayant pour objectif d’en améliorer l’appréciation, la compréhension et l’usage. Ces actions se fondent sur le respect des matériaux originaux et sont réversibles. Elles ne sont mises en œuvre que lorsque le bien a perdu une part de sa signification ou de sa fonction en raison de détériorations ou de remaniements passés.

  • conservation préventive : il s’agit de l’ensemble des mesures et actions ayant pour objectif d’éviter ou de minimiser les détériorations ou pertes à venir. Ces mesures et actions sont indirectes, elles n’interfèrent pas avec les matériaux et la structure du bien culturel et ne modifient pas son apparence.
Terminologie de la conservation-restauration du patrimoine culturel matériel, résolution adoptée par les membres de l’ICOM-CC, 2008.